Ce soir
je flotte
dans un petit paradis artificiel
et je rêve
de....
je rêve des bêtises impossibles
des mains fortes en serrant les miennes
des baisers forts en m'impulsant vers l'extase
de l'amour reciproque
de l'amour perdu dans les abîmes du passé
je rêve de l'autre chemin...
Two roads diverged in a yellow wood
Moi, j'ai mal choisi
l'hymne de ma vie devrait être:
J'AURAIS DÛ
Il y avait un moment clé
Il y en avait plusieurs
mais moi, j'ai cru
dans mon ancien rêve
de l'embrasser, de l'aimer fort
de l'aimer toujours
Ya ves que venero, tu imagen divina...
Une fois dans ma vie, c'est vrai
J'ai aimé, et ça fort
Une fois j'ai cherché le vrai accouplage
et j'ai mal choisi
je désirais l'amour imprévisible
improbable
voire, impossible
J'ai parié
évidemment tout
et j'ai tout perdu
La vida es la ruleta en que apostamos todos
J'ai un belle vie de rêves accomplis
une vie pleine de roses moments
de chers amis
de chères mémoires
des voyages à l'étranger
de jeunes amants et des soirs de jouissance
Quand même
le rêve qui me hante depuis toujours
me hante toujours
ce que je cherchais tant
je cherche tant toujours
ou bien
je rêve à le chercher
Je ne le cherche plus
pas vraiment
je ne peux plus y croire
L'amant que j'aurais cru trouvé n'est qu'un revenant perverti
mort sur les champs de bataille de ma propre jeunesse
c'est ma croix
mon karma
mon purgatoire
moi qui crois en rien ces jours que la bouteille et l'extase temporaire
moi, j'aime toujours ce petit famtôme ephémère
dont la voix m'a tenté tellement sur les plages galloises il y a tant d'années
un rêve totalement réalisé dans la folie
le peu d'esprit qui me reste
se rappelle toujours d'un ancien rêve
rendu
ces jours-ci
fiction totale
d'une belle époque
où je croyais toujours à un passé lointain
où cet amant m'embrassait
Aujourd'hui
je ne crois plus à rien comme ça
J'attends
Que ça...
en faisant la fête et en cueillant les roses...
dijous, de novembre 03, 2005
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2 comentaris:
If my French were better, I'd respond in the language of this post. But, it is not. So, I will simply say that I felt all the pain in this poem. All of it. I've had a similar pain. And now, that I've found love, albeit quite recently, for some reason this pain continues to haunt me. Perhaps because I know that if my current love abandons me, this pain will return with a vehement vengeance. I suppose there is no escape after all. And that is why we drink! Looking forward to our drunken lamentation over the holidays.
Yes, we can raise a glass to love, whatever it may be ;)
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